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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 18:41
La baignade...ASSEITOU ,MOHAMED ET LOUISE et SARAH

La grande fille c'est Asseitou.

 La fillette au T.S. rose c'est Louise (la filleule de Gwen )et celui en bleu est  Mohamed (mon filleul)

 

ASSEITOU est la grande copine de ma fille Sarah.

Célestine, maman d'accueil, est la lingère du collège et lorsque j' y donnais des cours, Sarah allait retrouver sa copine près du lavoir où travaillait la maman.

Combien de fois  l'ai-je récupérée en culotte car "on est tombé dans l'eau...on n'a pas fait exprès!"

Si j'en avais eu le droit j'aurais peut être fait comme elles...  45° à l'ombre, je comprends qu'on ne le fasse pas exprès !

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27 mai 2011 5 27 /05 /mai /2011 18:38
La brique de terre ....oui mais ....

 

La brique de terre est certes moins chère que la pierre ou le parpaing et permet à tous de se batir une maison mais malheureusement au bout de quelques saisons de pluies,tout s'écroule.

   

 

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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 17:13
Télécentre

 

Certains ont un goût artistique prononcé pour décorer et faire la publicité de leur télécentre.

télécentre = cabine téléphonique.

Comme vous pouvez le voir sur l'une des pancartes cela reste ouvert de très tôt le matin à très tard le soir.

 

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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 17:08
Station essence

 

Comme beaucoup de choses au Burkina, l'essence est vendue en petite quantité.

Ce qui permet a ceux qui ont peu de moyens d'acheter juste ce qu'ils veulent.

Le pétrole pour mettre dans les lampes est également vendu en très petites quantité.

On peut aller chercher juste de quoi passer la nuit.

Il y a même des petits vendeurs malins - souvent de jeunes garçons-  qui achètent en ville un bidon et qui passent de maison en maison à la tombée de la nuit pour vendre par mesure(1 verre)

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24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 17:02
un lieu de sacrifice

C'est le "lieu de sacrifice" ... Il y a encore dans le village le "chef coutumier", Monsieur Bé que je vous présente ici : le Monsieur avec des lunettes

C'est lui qui sacrifie les poulets -de préférence des poulets blancs-  pour tout ce que vous demandez :

 -pluie

 -le retour du mari volage

- la santé

Ce lieu était juste en face de notre maison.

La coutume veut que ce poulet sacrifié soit ensuite cuit sur place. Donc mon mari et le berger se faisaient un plaisir d'aller saluer le chef coutumier après son office, comme cela ils avaient droit aux bouts de viande...

A voir la quantité de plumes le jour de la photo ,il devait y avoir quelque chose d'important de demandé...

Mr Bé était infirmier-major au centre de santé de Diebougou...Il souffre de la maladie"éléphantiasis"...

La maladie de Mr Bé est une maladie parasitaire caracterisée par l'augmentation de volume d'un membre,

due à un oedeme provenant de l'infiltration des tissus par de la lymphe. ( aucun traitement radical.)

 

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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 13:25
Le néré

C'est un arbre de la famille des mimosacées,arbre dont les racines et les graines sont utilisées en médecine traditionnelle et en cuisine. La fleur de ces arbres donnent des gousses d'environ 20cm suspendues en grappe et contenant des graines noires et de la pulpe jaune appréciée des enfants.

  

De ces gousses est extrait un condiment à l'odeur très forte : sombala en bambara au Burkina, mali-nenetou au Sénégal, dawa-dawa au Nigeria.

Le soumbala désigne la préparation obtenue à base de graines du néré.

Le néré est réputé pour sa capacité a résoudre les goitres et pour prévenir l'hypertension, voire la réduire.

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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 13:14

POUR VOUS FAIRE RÊVER...

quelques photos de soleil en Afrique

et une dernière pour vous donner envie de danser...

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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 19:08

se marier est une preoccupation des Hommes ,meme si certains disent ne pas y trouver leur compte...

 en pays Dagara ,le mariage est une imperieuse necessité.c'est par le mariage que le jeune homme ou jeune femme ,s'integre et perpetue sa lignée.

pour sceller le mariage ,il a été institué une dot.

cette tradition a traversé le temps, malgré l'interdiction (code des personnes et de la la famille).

la dot dans le pays Dagara est le symbole du mariage.cela va au dela des deux personnes mais unit deux familles.

cela se fait en 3 phases (selon l'abbé Kusielé Dabiré Jean-Marie,docteur en theologie de Diébougou)

-don de 350cauris environ plus une pintade et une poule.

- ensuite selon la "valeur de la dot "de la mere de la mariée, 1200 a 1300 cauris.

-ensuite ,l'aide aux travaux des champs dans la famille de la mariée et s'joute a cela ,l'achat d'une genisse et d'un taureau.

mais la dot affirme aussi la valeur du marié qui garde ses traditions.

 orage-burkina-faso-445580

De son côté, l’abbé Constantin Gbaanè Dabiré, philosophe et anthropologue au CDFA de Diébougou, pense que le système de la dot confine la femme dagara dans un statut d’infériorité tout en lui conférant dans le même temps, une importance, une reconnaissance. En effet, le mariage dagara tient compte de la femme en ce sens que c’est son nom qui est donné à l’enfant. Lequel nom n’est pas le même chez les Dagara que chez les Occidentaux. Par exemple, l’enfant issu d’une femme Da mariée à un Somda portera le nom Da mais pas celui du clan ou de la famille qui reste une propriété exclusive du mari.

 P1654.jpg

 

Certains estiment que la dot pousse des jeunes à l’exode rural ou l’immigration pour rechercher les sommes nécessaires au mariage. Anderman Hien, conseiller municipal du secteur n°2 de Diébougou et fils d’un chef coutumier, soutient que la dot est sacrée et doit rester telle. Cependant, il reconnaît que ses mutations fragilisent la société et les jeunes en sont le plus victimes. Pour lui, le refus de certains jeunes de se marier les expose aux maladies et cultive l’irresponsabilité. Mais à la question de savoir s’il faut supprimer la dot, sa position est claire : "La suppression de la dot serait la décapitation de la société dagara".

Du reste, poursuit-il, la dot est une question qui relève des parents et des oncles. Il se dit plutôt surpris que des jeunes la redoutent. "Quand un jeune homme aime une femme, fait-il savoir, et que cette dernière est consentante, il le fait savoir à ses parents et à ses oncles qui prennent les dispositions pour payer la dot".

Meda Cath[1].. 

 

 

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19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 10:41

 

 

 

de tous temps au CPK ,les eleves devaient apprendre le jardinage.

lorsque nous etions la-bas ,c'etait Frere Bob qui enseignait cette technique aux garçons.

.chacun avait un "carré"  delimité.et le benefice des ventes etait redistribué  a l'eleve "proprietaire du carré".

le soir , on voyait des eleves ,en ville avec une brouette pleine de choux ,de salades allant vendre leur recolte.

une anecdote:le frere Bob ,desesperait de pouvoir avoir des carottes a maturité,car les enfants ,gourmands ,les cueillaient toutes jeunes pour les grignoter en cachette.

 

 

 

 

jardin-cpk.JPG

jardin-cpk2.JPG

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13 décembre 2010 1 13 /12 /décembre /2010 21:23

lorsque j'enseignais aux filles de 6eme ,au college CPK,

je cotoyais le Frere -surveillant Hermann..

quelle surprise de voir dans les photos que m'ont ramené Claude et Eliane,le

nouveau directeur du college 7 ans apres notre depart....

Frere Hermann .

je pense qu'il a gardé son sourire et sa jovialité. et son sens de la pedagogie.

 

 

 

 

 

 

 

frere-hermann.JPG

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